Je suis décédé le vendredi 15 novembre 1697 à Tulle.
01/12/1656Clerc, Admis comme tonsuré au séminaire de Saint-Sulpice.
12/12/1662Bonnet de Docteur à la Sorbonne
15/12/1662Envoyé au séminaire du Saint-Sulpice de Limoges
24/04/1674Acte relatif à la séparation des biens entre le séminaire de la Mission et le séminaire des Ordinands pour accorder une autonomie à ce dernier. Premiers signataires : Jean Bourdon, supérieur du Séminaire de Limoge et Raymond Gaye
27/02/1677M. de Bretonvilliers l’associe à Jean Bourdon ((frère de Michel Bourdon, Premier Vicaire de l’évêque de Limoges, Louis d’Urfé) pour la direction du séminaire de Limoges où il reste pendant 20 ans (estimé par son évêque).
21/01/1679M. Tronson met Raymond Gaye à la disposition de l’évêque de Limoges, Louis d’Urfé, pour être deuxième Grand Vicaire, car son vicaire général est malade (M. Michel Bourdon, frère de Jean Bourdon, directeur du séminaire de Limoges).
22/01/1679Monsieur Tronson à Monseigneur de Limoges : Recherche d’un remplaçant à M. Bourdon, Vicaire Général qui est malade : Il faut un homme de confiance. Si vous l’avez pour M. Gaye, je ne vois personne qui vous convienne mieux.
17/07/1679Monsieur Tronson à Monseigneur de Limoges : M. Gaye peut accompagner l’évêque de Limoges dans ses visites :C’est une personne sûre et qui fera bien tout ce qui pourra pour tous donner une entière satisfaction.
Vers 1680« Il se fit estimer par la solidité de son esprit, l’aménité de son caractère et les grands services que sa qualité d’enfant du pays lui permirent de rendre au diocèse. »
Vers 1684Monsieur de Lagarde, élu de Tulle (Conseiller au Tribunal de Tulle, appelé élection) lègue ses biens au séminaire de Limoges (800 000 livres) pour établir un séminaire à Tulle. Gaye de Bosrédon fut chargé de ce travail et n’établit l’union qu’en 1697.
11/09/1688Arrêt à la 4ème chambre sur l’affaire de la succession de Lagarde donnant raison à Raymond gaye et au séminaire de Limoges
03/10/1692M. Gaye peut accepter le Grand Vicariat.
01/11/1695Rencontre de Fénelon à la Toussaint. Raymond Gaye explique à Fénelon pourquoi il ne souhaite pas se rendre à Cambrai (d’après une lettre du 7 octobre 1695)
09/03/1696À 9 heures du matin, Mgr de Cambray est venu voir M. Tronson pour nommer M. Gaye père supérieur de son séminaire.
08/11/1696Pense pouvoir aller à Pâques prendre la direction du séminaire de Cambrai.
06/01/1697Lettre de Fénelon à Monsieur Tronson pour Cambrai : Le bon cœur de M. Gaye, sa franchise, ses manières propres à se faire aimer, son zèle, son expérience, sa tendresse pour moi et la mienne pour lui font que je serais ravi de l’avoir.
28/03/1697Concordat d’Union entre l’évêque de Tulle, Mgr Humbert Ancellin et Monsieur Louis Tronson, Supérieur du Séminaire du Saint-Sulpice
08/10/1697Lettres patentes de l’Union du Séminaire de Tulles à celui de Paris
15/11/1697Meurt à Tulle avec les fonctions de Grand Vicaire et de Supérieur du Séminaire.
22/11/1697Lettre de Monsieur Tronson à Monsieur Le Tellier sur la mort de Monsieur Gaye : « Je vous recommande et à vos Messieurs M. Gaye qui est mort vendredi dernier et qui nous laisse apparemment beaucoup d’embarras pour le séminaire de Tulles »
28/11/1697Monsieur Tronson à Monsieur Raby : Embarras suite à la mort de Monsieur Gaye : La Mort de M. Gaye nous a fort surpris et sensiblement affligés. C’est une grande perte pour le diocèse de Tulle et pour le séminaire, et un grand embarras pour nous.
02/12/1697Paul Godet des Marais, évêque de Chartres, témoignait à M. Tronson qu’il prenait une grande part à sa perte qu’il avait « du saint prêtre, M. Gaye, je l’aimais de tout mon cœur »
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